Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (134)

De retour à Chennevières je viens de me réveiller et j’ai la surprise de recevoir un appel de Lionel souhaitant me rencontrer pour parler de Livia avec laquelle j’ai passé le week-end en faisant de la moto nue de nuit sur la plage.
Contre toute attente, elle se laisse faire l’amour par Corentin son ami d’enfance sur la plage mais dès le dimanche soir nous avons baisé en trio.
C’est à ce moment que mon téléphone de l’organisation sonne.
J’écoute.

• J’ai tout compris, certes c’est assez près et je vais respecter les volontés du client, encore un qui aurait du mal à travailler chez Lustucru, s’il paye normalement pourquoi pas, je pensais me reposer ce soir, d’accord j’y vais pour 17 heures, à plus.

Cela sent le 5 à 7 j’ai mes consignes pas très compliquées du fric vite gagné.
Je vais jusqu’à la piscine et je retourne à l’eau, marraine nage tranquillement.

• Valérie, on part à quelle heure demain matin.
• 9 heures 20 de Charle de Gaule arrivé à Moscou à 15 heures par un vol Air France, Igor sera là avec les limousines pour nous amener à l’hôtel ou tu à gagner ta mallette de billets, nos filles auront le temps de se préparer pour 21 heures ou les transactions avec les clients auront lieu.
Il est prévu que les clients laissent les filles à 5 heures du matin, heure de Moscou.
Il y a peu deux heures de décalage horaire je pense qu’elles les encaisseront sans problème.
• Je vais rendre mon tablier à l’organisation, je viens d’avoir un coup de téléphone, je pars pour 17 heures à l’Hôtel du Château de Vincennes.
• Pour la nuit ?
• Non, un 5 à 7, tu as raison, allons manger je vais faire une sieste.

Avant de manger, j’ai une conversation avec Ayu, c’est vrai les deux sœurs étaient absentes hier à l’institut, Odile a souhaité que les jumelles restent chez elles avec Sindy, heureusement c’était déjà assez le bordel comme cela.
Nous déjeunons tous ensemble, pâtes aux pâtes agrémentées de pâtes, je rigole, pâtes à la carbonara préparée par la petite, je suis intrigué, qu’a voulu dire Lionel en parlant de l’accent d’Ayu.



• Bonjour à tous, regardez ce que je vous amène, nous avons trouvé un toutou errant pendant notre week-end dans les châteaux de la Loire.
Fabienne, la belle Fabienne accompagnée de Chantal viennent d’entrer, Ayu leur a ouvert, elle tient en laisse Aliou qui les suit c’est le cas de le dire comme un toutou, il a des fringues propres a toujours la chevelure afro mais semble avoir les cheveux mieux placés.

• Christine tu es là, ses deux folles ont voulu t’imiter et mon acheter ce collier en cuir pour chien, j’ai toujours vu le tient très élégant avec ses Rubis sans savoir à quoi il te servait.
J’ai accepté par jeux mais tous le week-end on a joué au susucre à sa mémère, je cours après la balle que j’att et autres jeux qui chaque fois se finissaient dans les camping-cars où je baisais les deux couples ensemble ou séparément.
En acceptant leur collier j’ignorais que j’acceptais d’être plus crevé qu’avec les trois autres folles l’autre soir.
• Et cela fait que commencer, Christine on le remmène le temps où vous serez partie, on va continuer son éducation.
• Hors de question.

C’est Ayu qui monte aux créneaux.

• Reprenez votre collier les copines, Christine m’a confié Aliou pendant son absence, je dois l’aider à nettoyer le terrain et je suis en train de lui confectionner des petits plats que maman Vi nous a appris.
Ce soir Anne et Adonis viennent manger avec nous, maman gardant Sindy.
• C’est bien, tu as raison, nous avons des contrats avec deux couples, il aurait été obligé de rester seul chez nous.

Je détache mon collier, j’aurais dû le faire hier quand Aliou était chez Véronique car ce collier avec des rubis a été à l’origine de la connivence entre moi et celle qui m’avait volé mon mari pour finir par devenir et ma maîtresse ainsi que l'une de nos escortes.

• Ayu va me chercher ma laisse dans mon sac s’il te plaît.

La petite vole plus qu’elle ne court et revient avec le lien qui va servir à intégrer le garçon dans le groupe définitivement.


• Tient Aliou acceptes-tu mon collier, ce sera le tient tant que tu décideras de rester parmi nous, aucune contrainte suivant tes désirs, simplement si tu décides de reprendre ton autonomie tu devras me le rendre.

Je le place autour du cou du garçon qui ne dit mot.

• Et toi Christine, comment vas-tu faire demain ?
• Demain je vais mettre celui avec des diamants qui est dans le coffre de Valérie dans sa chambre car une laisse blanche comme le collier m’attend à Moscou.

Le collier mis en place je donne la laisse à Ayu.

• Ayu, je te confis ce garçon avec ta sœur Anne pendant mon absence, il est à vous.
• Aliou enlève tes vêtements ici nous vivons nus, vient avec moi tu vas faire la vaisselle.
• Bon, je repars avec mon collier et ma laisse en simple cuir, qu’en penses-tu Chantal, partons-nous sommes étrangères à leur monde, nous allons nous en servir ce soir avec nos clients.
Bise Christine, je t’aime, Aliou étant une bonne recrue, il a tout ce qu’il faut là où il faut et c’est même occupé de nos hommes, ils ont aimé se faire sucer.

Fabienne me dit cela à l’oreille afin que personne autour que nous n’entende.
Je vais me coucher les filles toujours aussi belles dans leur nudité barbottant dans l’eau en s’aspergeant sous le regard de Vladimir et marraine qui se sont allongés sur un transat profitant du soleil.

Il est 16 heures quand je démarre ma mini pour me rendre à mon rendez-vous.
Ma voiture garée près du château je longe la clinique elle aussi du château et j’arrive devant l’hôtel, le réceptionniste me regarde, encore un qui doit se dire « Tient la jolie pute ».
Comme prévu la porte de la chambre 6 est entrouverte, sur une chaise une enveloppe, 10 fois 200, 2 000 le compte y est, je me déshabille, je vais jusqu’à la salle de bain.
L’eau coule dans la baignoire, je m’approche et sans un mot je rentre dans l’eau, je m’assieds et comme il m’a été dit l’homme présent à qui j’ai interdiction de parler commence à me savonner le corps s’attardant sur mes seins, descendant le long de mes jambes.

Dans un premier temps il évite ma chatte, cette séquence doit s’achever au bout d’environ cinq minutes où je dois me lever ce que je fais, je me lève et l’éponge naturelle que le client a dû apporter commence à se rapprocher de sa cible.
C’est incroyable, ce film muet que je joue me donnent des sensations impossibles de refréner, je plie sur mes genoux et l’éponge pénètre ma chatte, j’ai l’impression qu’il veut enlever toute trace de cyprine au plus profond de mon vagin.
Il la sort et la rentre plusieurs fois avant de s’attaquer à ma rosette et de recommencer son cinéma.
J’applique ce qu’il m’a été dit de faire au bout d’une demi-heure dans le bain à me faire entrer de l’éponge dans mon intimité, je sors de l’eau récupère le peignoir qui a été placé là à dessin et je retourne vers mes affaires pour me rhabiller.

Ce que je vois après ne fait pas partie du contrat mais je prends mon temps intrigué parce que va faire le client.
Une glace me renvoie la vision de la baignoire, a-t-il choisi cette chambre car il veut que je regarde mais comme les billets sont bien au chaud dans mon sac à main, il enjambe la baignoire l’éponge à la main, la fait entrer entièrement dans sa bouche la suçant.
Dans le même temps sa main s’active sur sa queue qu’il masturbe frénétiquement semblant regarder vers l’eau comme si je m’y trouvais toujours, jusqu’au moment où il éjacule tombant à genoux dans l’eau et avec ses mains s’aspergeant frénétiquement.
Je sors sur la pointe des pieds et après avoir fermé la porte discrètement je ressors de l’hôtel, le réceptionniste surpris de déjà me voir repartir.

2 000 € pour se faire laver l’intérieur de ma chatte avec une éponge et la sucer en la masturbant c’est en qualité-prix la passe qui m’aura rapporté le max de fric en peu de temps.
Je me souviens du client qui m’avait fisté avec ses pieds cela avait été assez rapide mais le bain à ce tarif j’en demande tous les jours.
J’ignore si cette déviance à un nom et je suis preneuse de tous renseignements, je verrais avec Valérie, elle a vu tant de choses.

Je retrouve ma voiture et installé je sens qu’il me manque quelque chose, j’ai eu du plaisir mais pas mon plaisir, c’est en voyant les créneaux du château que je me masturbe discrètement passant ma main sous ma jupe, j’explose en me remémorant la scène haletante comme lorsque Livia me broutait hier.
Reprenant mes esprits je sens mes doigts imprégner de la cyprine qui est revenue, un instant j’ai l’envie de retourner à l’hôtel pour me faire nettoyer mais la verge expulsant son sperme qui vient gicler sur la vitre côté conducteur de l’homme qui m’a vu sans que je le voie m’incite à tourner le contact et à démarrer.

Je tourne à droite manquant me faire emplafonner car ma vision de ce côté est impossible, je trouve une place près du départ des autobus pour Joinville et autres directions, je descends mais je m’aperçois que j’ai oublié de mettre des mouchoirs en papier à l’intérieur.
En temps normal j’ai ma valise mais mes consignes étaient d’avoir le minimum d’affaire avec moi et à l’intérieur j’aurais trouvé de quoi nettoyer cette vitre.
Le café du château est ouvert et je pense que je vais pouvoir trouver du papier pour tout nettoyer.

J’entre, je m’assieds pour prendre un verre, à la table voisine deux femmes dont l’une avec de gros nichons discute entre elles, elles me regardent et parlent dans une langue qui m’est inconnue mais dont certains mots se rapprochent du Français.

• Pardon madame avez-vous du feu ?
• Non, j’ai beaucoup de défaut mais pas celui de fumer, vous auriez des mouchoirs en papier.
• T’es nouvelle, tu commences ce soir, t’as oublié tes mouchoirs pour t’essuyer la bouche après avoir sucé, fait gaffe, évite de pendre le territoire de l’une de nous.
• Vous êtes des.

Je pense que le mot pute est adéquat mais j’hésite à le prononcer.

• Oui dis-le des putes transsexuelles opérées.
• Êtes-vous Brésilien ?
• Nous étions Brésilien et maintenant sur nos papiers c’est Brésilienne qu’il faut dire…

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